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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 16:13

L'auteur de cet article s'appelle Yacouba Aliou. Il l'a publié le 03 juillet dernier. Lisez et commentez ses apprhensions. 

 

Quand le médiateur fait son choix

Pour les observateurs qui ont suivi la bataille de Gao entre le MUJAO et le MNLA, cette bataille nous rappelle la guerre de 1997 entre le président Pascal Lissouba et son opposant le général Denis Sassou N’Guesso. Entre les deux protagonistes, il y avait un médiateur du nom de Mr Bernard Koléla, opposant de tous les régimes qui se sont succédés au Congo Brazza. Mr Bernard Koléla fut nommé premier ministre par le président Lissouba en pleine guerre. Pour Denis Sassou N’Guesso, cette nomination est un « choix de guerre ».

Pour tous ceux qui se rappellent, de la destruction des régions du nord faite par le MNLA, cette destruction qui a amené ces régions presque à l’état primitif si nous parlons au troisième millénaire, quand des régions n’ont ni école, ni centre de santé, ni maternité, ni école, ni eau potable. Ce sont les blessés de ce mouvement terroriste que les militaires du médiateur viennent récupérer en hélicoptère sur le territoire malien, précisément à Doro à mi-chemin entre Gossi et Gao (entre 75 à 80 km de Gao). Pour le médiateur, ce sont des raisons humanitaires qui les avaient poussés dans cette action. Quelles raisons humanitaires pour des individus terroristes, qui ont détruit tout le tissu social et économique des trois régions de leur pays, un pays qui les a tout donné : santé, instruction. Des individus qui sont rentrés en rébellion armée contre leur pays. Des individus qui ont proclamé l’indépendance des 2/3 de leur pays sans consulter la majorité de la population de cette partie de leur pays qui constitue plus de 90%. Des individus qui ont envoyé des milliers de leurs compatriotes en refugiés dans les pays voisins et à l’intérieur de leur pays comme déplacés, surtout à un moment où les pays du sahel, frappés de plein fouet par une baisse notable de la pluviométrie de l’année 2011 et qui a eu comme conséquence une baisse de la production agricole d’où une insécurité alimentaire.

Le médiateur Blaise Compaoré vient de franchir la « ligne rouge ». L’adage dit ceci : « l’ami de ton ennemi est ton ennemi ». Nous le comprenons bien, il est en train d’appliquer à la lettre les directives de ses maîtres français, concepteurs du MNLA. Depuis la rébellion des années 90, le Burkina, la France, la Mauritanie soutiennent ouvertement les rebelles. Rappelez-vous des attaques du rebelle Rhissa, attaques menées à partir du Gourma du Mali. On ne peut faire une rébellion sans base arrière. Leur refuge était le Burkina Faso. Maintenant, c’est le tour d’un pays ami, qui doit son indépendance grâce à un soutien diplomatique et militaire du Mali du président Modibo Keita. Nous avons nommé ce pays, l’Algérie. Mais l’Algérie ne doit pas oublier que même si le Président Modibo Keita est mort, le Mali reste et restera le Mali. Nous ne comprenons pas ce que le ministre algérien veut dire par « les revendications des populations du nord sont légitimes ». Quelles sont ces populations du nord ? Il veut parler des touaregs ou des populations sédentaires y comprises les touareg ? Ce qui est sûr, on ne connait pas aux populations du nord sédentaires, des idées « indépendantistes ». Ces populations sédentaires n’ont jamais demandé une indépendance par rapport au reste de leur pays qu’ils disent en leitmotiv, qu’il « est un et indivisible ». Ce que le Mali a accepté à ces touareg, l'Algérie l'a-t-elle accepté à ses kabyles ? Le Mali n'a même pas le millième de ce que l'Algérie a en base économique. L'accord de Tamarasset, l'accord d'Alger que le Mali a signés avec les groupes rebelles touareg sous le parrainage de l'Algérie, l'Algérie n'a pas signé de tels accords ni avec les kabyles, ni avec le FIS qui a gagné les élections législatives de 1992 mais les généraux algériens avaient décidé autrement parce que la France avait dit que « l'intégrisme islamique est à sa porte, seule la Mer Méditerranée la sépare de l'Algérie ».
Pour le moment, parmi tous les pays qui sont concernés par le problème du nord Mali à savoir l’Algérie, le Burkina, la Mauritanie et le Niger, seul ce dernier joue franc avec le Mali.

Mr Blaise Compaoré fait vivre son pays avec les conflits armés en Afrique. La guerre du Libéria, c’est lui avec Charles Taylor et Kadhafi, au Tchad en 1989 lorsque le conflit avait éclaté entre Hussein Habré et son conseiller et ancien chef d’état- major, le colonel Idriss Déby, ce dernier avait passé par Blaise Compaoré. C’est lui qui a accueilli et financé, l’opposant Mr Laurent Koudou Gbagbo contre le président Henri Konan Bédié. Il avait accueilli et financé les rebelles qui ont renversé Laurent Koudou Gbagbo. L’affaire du capitaine Dadis Camara de la Guinée, c’est lui. Maintenant, son nouveau marché, c’est le Mali. C’est lui aussi qui accueille tous les opposants africains à leurs régimes. Actuellement, il a sur son sol, l’opposant mauritanien au régime du général Mohamed Abdoul Aziz. C’est cet opposant qui joue l’intermédiaire dans la libération des otages. Rappelez-vous, après la chute de Tombouctou, un otage européen avait été recherchée en hélicoptère dans cette ville. Le Mali est devenu pour le président du Burkina, une terre nihilis. Aujourd’hui, la majeure partie du MNLA est basée au Burkina. Le Directeur de l’ADN, était au Burkina et c’est à partir du Burkina qu’il se rendait à Gao pour les réunions du MNLA. Tout ça, se fait sur le dos du contribuable malien (étant au Burkina, la facture de téléphone d’un mois de Mohamed dit Aklinine, c’est plus de 3 millions de francs cfa). Le Mali est nul en matière de sécurité depuis l’avènement de la démocratie. Il n’y a pas de développement sans sécurité. Allez-y savoir au Niger depuis l’avènement du président Kountché au pouvoir en 1974.

 

C’est un membre du gouvernement transitoire de l’Azawad, qui a quitté Gao, pour venir à Bamako et prendre trois mois de salaire. Pourtant, le gouvernement doit connaître la composition du gouvernement transitoire de l’Azawad et savoir qui est fonctionnaire et couper son salaire. Cela va de même pour le vieux honteux ancien ministre malien, Mr Hamma ag Mahmoud. Le gouvernement malien doit couper sa pension. Il a perdu la nationalité malienne et tous ses droits de malien. Le Mali, « province du Burkina » par la faute des « démocrates sincères et des patriotes convaincus » du PMT au sein de l’ADEMA-PASJ, qui n’avaient rien vu en 2002 que de faire un « pronunciamiento électoral » pour remettre le pouvoir à un général ATT, traître. Maintenant, nous n’entendons plus la voix du révolutionnaire Professeur Ali Nouhou Diallo. Il s’est caché dans la taïga ? Moussa Traoré est en train de rire d’eux. C’est sous le régime des « démocrates » que les 2/3 de notre pays sont occupés. Voilà que nos démocrates sont moins que Moussa Traoré. Au moins, lui, quand même, a pu assurer l’intégrité de notre territoire.

 

Nous voyons sur un journal où le prof Diallo disait que l’attentat contre Dioncounda ne passera pas impuni. Nous lui disons que l’assassinat du Président Modibo a passé impuni alors que les démocrates avaient tous les moyens pour trouver les auteurs. Le massacre des militaires du camp d’Aguelhoc, ceux d’Abeibara en 2008, l’assassinat du jeune étudiant Papou et tant d’autres sont passées impunies. Ne tirez pas sur la corde en misant sur les calculs de la CEDEAO. N’oubliez pas que Mr Nicolas Sarkhozy a fait ses calculs en misant sur le MNLA qu’il a créé. Mais où sont Mr Sarkhozy et le MNLA ? Dieu a dit aux infidèles qu’ils ont leur ruse et Lui aussi a Sa Ruse. Nous croirons bien à un complot à venir.

Nous voyons aussi sur un journal ce matin des soldats algériens pour la sécurité de Dioncounda. Quelle honte pour le Mali, 52 ans après son indépendance. Le Président Modibo est anti français et l’armée malienne qu’il a créée en 1960 est issue de l’armée coloniale française mais il n’avait pris ni des soldats chinois, ni des soldats russes, ni des soldats ghanéen ou guinéen pour sa sécurité. Rien n’intéresse les démocrates que le pouvoir. N’ouvrez pas une boîte de pandore en allant trop loin dans ce qui est arrivé au président Dioncounda. En fin pour fermer cette rubrique, nous disons qu’après le Président Modibo, il n’ y a eu rien et on ne voit rien venir.

Comment le procès « crime de sang est terminé? » Tous ceux qui ont été condamnés, ont été graciés et même dédommagés. Ceux qui ont perdu, ce sont les innocentes personnes mortes et blessées (les voleurs ne sont pas inclus) de mars 1991, qui n'ont eu que de la poudre aux yeux et « les démocrates sincères et patriotes convaincus » sont dans leurs villas et vergers. Personne d'eux n'a eu une écorchure.Voici la raison de la fuite des « démocrates » maliens vers l'extérieur. Ils sont partis flûter le tambour chez leur maitre qui les a placés au pouvoir en mars 91 sur les cadavres des maliens.

Mais le président du Faso doit comprendre que chaque chose a une fin. Il ne peut pas continuer à disposer de plusieurs peuples de l’Afrique pendant toute sa vie. Les peulhs ont dit dans un adage, « qu’un enfant perde sa mère à bas âge, ne fait pas de lui un malchanceux mais cela n’empêchera pas son mauvais jour d’arriver ». Il sera saisi par Dieu et rattrapé par l’histoire, incha Allah.
Nous le disons et on ne cesse pas de le dire, ATT est là, avec la tête au complet et seuls les pieds sont à l’extérieur. Il est au sein du FDR dont son ancienne ambassadrice, anime conférence sur conférence pour stigmatiser leurs opposants. Nous le disons encore, la junte a fait la grosse erreur pour laisser sortir ce honteux individu même si la maladie le minait à 99%.Il devait mourir entre nos murs et il devait répondre des actes de sa trahison vis-à-vis de son pays qui l’a tout donné. Chaque fois, nous pensons à la phrase de l’imam Mahmoud Dicko, quand il disait « qu’il y’ a quelque chose qu’on nous cache ».

En réponse à Mr Soumaïla Cissé qui depuis Paris dit ceci à ses militants: « Pour rétablir la démocratie et réunifier le pays..... Aucun sacrifice n'est de trop ».Est ce qu'il connaît le sens de la démocratie ? Depuis après sa défaite de 2002 face au général ATT, quelle contradiction, il a eu à apporter à ce dernier pour améliorer la démocratie. Il pensait que le général allait lui donner le pouvoir sur un plateau d'argent. Voici des hommes politiques qui se trompent, qui n'ont aucune vision ni de la dialectique ni du lendemain. Ils ont oublié qu'ils ont leur ruse et Dieu a sa ruse. La bataille ce n'est à Paris mais sur le territoire malien, c'est là que la mort est honorable. Moussa Traoré a fait dix ans de détention, le Président Modibo a fait neuf ans de détention avant d'être assassiné. Il est plus honorable à ATT de mourir au Mali en prison que d'être en liberté au Sénégal. Quel piètre individu !

A Mr Iba N'Diaye qui dit que « la solution de nos problèmes c'est dans notre constitution », quelle constitution, dans la mesure où il y a eu un coup d'état et la CEDEAO est venue faire du rafistolage, on ne peut plus parler de constitution. Il était où lorsque cette constitution était piétinée par son ami ATT?

Mr Blaise Compaoré en parlant du président Gbagbo en 2004 après le massacre des manifestants à Abidjan 'plus de 500 morts », avait dit ceci: « cet homme finira par le TPI ». Vraiment nous disons, il y' a des « démocrates maliens » qui doivent répondre de la forfaiture et de leur trahison.
Nous ne croyons pas aux déclarations du député « procuration » de Gao Mr Assarid ag Imbarkawane quand il disait que « la communauté internationale est avec nous ».

 

Nous disons que la communauté internationale est avec ses intérêts qui sont les ressources minières, l’intérêt stratégique de cette zone et ses otages. Pour les français, un otage français vaut la population entière de toute l’Afrique à plus forte raison les 13 millions des maliens. Mr Zahabi ould sidi Mohamed avait dit au chef de village de Tacharane, dans les années 94 ou 95, quand il partait attaquer le village de Fafa, que « quand un noir tue une peau blanche, c’est mille noirs qui vont la payer ».

 

Les USA ont été clairs, pour eux, pas question à l’armée de la CEDEAO d’aller au nord mais de se concentrer au sud pour sécuriser leurs parrains et peut-être pour mettre en difficultés, ceux qu’ils considèrent comme « leurs diables », le capitaine Sanogo et ses hommes. Ceux qui ont écouté RFI le lundi matin, Mr Ahmedou ould Dada, ancien ministre mauritanien des affaires étrangères, a abondé dans le même sens. Tous ceux qui ont l’esprit colonisé, ne peuvent pas emprunter un chemin contraire à celui de leurs maîtres.

La drogue dont parle l’ancien ministre mauritanien, n’est pas produite au nord Mali mais elle existe partout dans le monde. Les américains savent bien ceux qui sont impliqués dans la drogue au Mali. Est-ce que le MNLA est saint dans cette affaire de drogue ?

 

Pour escamoter l’affaire de la profanation des mausolées de Tombouctou, il dit qu’il n’est pas un spécialiste en la matière. Ce problème de la profanation est un faux problème. C’est de la pure idolâtrie. Visiter les tombes ne signifie pas croire à leur miracle. La fin du monde n’est pas à une fermeture permanente d’une porte de mosquée à Tombouctou. C’est Dieu qui a créé le monde et c’est Lui Qui décide de sa fin. Quelle ignorance au troisième millénaire ! Le gouvernement qui crie en disant que cet acte est d’un autre âge, nous disons que c’est honteux pour des musulmans qui pensent que ce sont des morts qui n’entendent rien qui viendront à leur secours. Les morts sont enterrés aux cimetières et non dans des mosquées. Le culte est réservé à un Dieu unique, Allah et c’est Lui Le Protecteur de l’humanité. Dieu dit dans le Saint Coran ceci : « Allah est le défenseur de ceux qui ont la foi ; Il les sortir des ténèbres à la lumière. Quand à ceux qui ne croient pas, ils ont pour défenseurs les Taghut, qui les font sortir de la lumière aux ténèbres. Voilà les gens du feu, où ils demeurent éternellement. » (Coran, sourate II, verset 257) (Il faut comprendre par Taghut, diable, idôle et toutes fausses divinités).

 

Là où le gouvernement du Mali doit attaquer le groupe qui est responsable des actes de profanation, c’est le fait de venir avec des armes sur une terre occupée déjà par un peuple musulman. Aucun musulman, n’a le droit de venir avec des armes contre un autre peuple musulman. Le Mali n’est pas l’Afghanistan en 1979 où tous les ulémas du monde à l’unanimité ont déclaré que s’il y ’a un seul pays au monde où on doit faire le jihad, c’est bien lui l’Afghanistan. Chacun est libre de pratiquer sa religion et chacun est libre de croire ou de ne pas croire. Mais, pour les musulmans, Dieu est unique. On ne peut pas avoir un pied dans l’islam et un autre pied au dehors. On ne peut pas aimer une chose et son contraire. Pas de différence entre les féticheurs animistes et ceux qui croient à ces tombes qu’ils trouvent sacrées. Pour répondre aux actes posés par les occupants, le gouvernement doit avoir de très bons conseillers en matière islamique. C’est mieux que de répondre avec un esprit colonisé. Ce qui doit être devant les juridictions compétentes, ce sont les destructions des infrastructures scolaires et sanitaires, l’envoi des populations paisibles à l’extérieur comme réfugiés où ils sont dans un état de promiscuité totale. La meilleure manière aussi c’est de discuter avec Ansardine.

 

Le monde a changé et il ne sera plus comme avant. C’est le réveil de l’Islam qu’on le veuille ou pas, c’est la réalité actuelle. Les maliens doivent comprendre que la communauté internationale n’est pas avec elle, mais elle est avec les touaregs, à travers le MNLA. Ce problème du nord a aussi une connotation raciste. Le Mali doit prendre en main son destin. C’est aux maliens à travers leur armée nationale, de compter d’abord sur ses propres forces pour faire la guerre. Les maliens doivent comprendre aussi que plusieurs combattants au sein de ces groupes armés, ne sont pas des maliens. Il y’a des étrangers au sein de tous les groupes armés. En parlant des afghans et des pakistanais présents au sein des groupes armés, il faut parler aussi de la présence d’algériens et des mauritaniens. De la même manière, où il est facile à des camerounais, à des ghanéens d’avoir des cartes d’identité maliennes, c’est facile aussi pour des algériens et des mauritaniens d’en posséder.

La situation que traverse le Mali aujourd’hui, nous rappelle des citations de Mr Michel Debré, ancien premier ministre du général Charles de Gaule, éminente personnalité politique française, dans une émission animée par Radio France Internationale dans les années 80 sous le titre : « Face au public ». Mr Michel Debré avait dit à l’époque que le « sort de la France est menacé et que pour cela, il préconise la suppression de tous les états-majors des partis politiques et que tous les partis politiques doivent travailler la main dans la main ». C’est ce qu’il faut aujourd’hui pour notre pays, le Mali. Les maliens doivent oublier leurs querelles politiques partisanes et travailler la main dans la main car le sort du Mali est menacé. Mais en réalité, beaucoup de maliens au sein de certaines associations et de certains partis politique ne jouent pas franc jeu. L’occupation du nord de notre pays, le MNLA et les autres groupes armés, le repli stratégique, tout ça, c’est politique. La présence du Qatar au nord de notre pays n’est pas gratuite. Le Qatar, c’est l’Amérique. Nous pouvons même penser, que les travailleurs de ce croissant rouge Qatari, présent au nord, sont des américains.

L’armée malienne doit faire la guerre et pour ça, elle a le soutien du peuple malien. Elle va de sa crédibilité, de son honneur et de sa dignité. Si non, nous ne voulons plus voir se promener entre nous, des hommes en tenue. La tenue, c’est pour le peuple malien.
Que Dieu fasse quelque chose pour le Mali où il y’ a son bonheur. Amine !

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